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14/05/2024 18:37

BOURGOGNE-FRANCHE-COMTÉ : France Travail anticipe de «belles perspectives de recrutements» en 2024

Même si le rattrapage d'activité après la crise sanitaire se tasse, le taux de chômage régional reste inférieur à la moyenne nationale avec 6,6%. Ce mardi 14 mai, la direction régionale de France Travail a indiqué quels secteurs comptaient recruter en 2024.
Chaque année le service public de l'emploi – devenu France Travail à la suite de la réforme de Pôle emploi – mène une enquête auprès des entreprises pour envisager les futurs besoins en main-d’œuvre. Cette «enquête BMO» permet d'améliorer la «transparence du marché du travail» afin d'accompagner tant les entreprises que les demandeurs d'emploi.

À l'occasion de la présentation des résultats de l'enquête, la direction régionale de France Travail en Bourgogne-Franche-Comté a présenté, ce mardi 14 mai 2024, à Dijon, un état des lieux de la situation de l'emploi dans la région : on totalise 99.444 intentions d’embauche auprès des employeurs de Bourgogne-Franche-Comté en 2024.

Pas de «fusion» mais un «changement d'orientation» du service public de l'emploi


2024 sera une année de transition pour le service public de l'emploi en vue d'une application pleine et entière de la réforme voulue par la loi sur le plein emploi d'ici 2027.

«Il s'agit d'un changement d'orientation significatif notamment dans le lien que nous sommes en train de consolider avec les acteurs de l'écosystème de l'emploi et de l'insertion de notre région», indique Michel Swieton, directeur régional de France Travail en Bourgogne-Franche-Comté qui réfute donc, une nouvelle fois, la notion d'éventuelle «fusion» avancée par les syndicats opposés à la réforme, préférant la notion de «faisceau de liens» entre ces acteurs.

Dans l'ensemble, 83% des offres d'emploi confiées à France Travail sont satisfaites. Dans 7% des cas seulement, les entreprises ne trouvent pas de candidats adéquats. 9% des offres sont annulées par les employeurs eux-mêmes.

La mise en réseau des acteurs de l'emploi pour trouver des réponses


Dans une région comprenant des zones rurales, le constat a été fait qu'aucun opérateur individuellement ne peut répondre à l'ensemble des problématiques. Des demandeurs d'emploi connaissent des difficultés de gardes d'enfants, d'autres des contraintes de mobilité, tandis que des entreprises pâtissent d'un secteur d'activité ayant une mauvaise réputation. Sans compter l'enjeu de l'attractivité territoriale.

«Avec la mise en réseau des différents acteurs, on peut tendre vers une réponse», assure Michel Swieton. En fonction de quoi, les acteurs du réseau de l'emploi mettent en place des accompagnements, certains réservés aux femmes isolées avec enfants notamment. Par ailleurs, certaines entreprises organisent elles-mêmes le transport de salariés.

Par exemple, lors vendanges en Côte-d'Or, France Travail finance une ligne de car quotidienne entre les quartiers relevant de la politique de la ville de l'agglomération dijonnaise pour conduire une quinzaine de vendangeurs vers les vignobles autour de Beaune.

Un taux de chômage de 6,6% en Bourgogne-Franche-Comté au début 2024


«Le taux de chômage reste faible dans notre région», relève Michel Swieton malgré une légère hausse ces derniers mois. Le taux de chômage s'établit à 7,5% dans toute la France (territoires ultra-marins compris exceptée Mayotte), à 6,6% en Bourgogne-Franche-Comté, à 5,9% en Côte-d'Or et même à 4,2% dans l'arrondissement de Beaune.

Ces variations statistiques induisent des réalités hétérogènes selon les territoires de Bourgogne-Franche-Comté. Ainsi, l'aire urbaine du nord de la Franche-Comté connaît un taux de chômage de près de 10%.

Cinq secteurs d'activité en tension


Les études prospectives menées par la Banque de France et l'INSEE permettent d'envisager une légère augmentation du chômage dans les prochains mois pour atteindre un effet plateau avant une nouvelle diminution.

Du côté des entreprises, cinq secteurs continuent de connaître des difficultés pour recruter : sanitaire-social-santé, transports de personnes et de marchandises, industrie, hôtellerie-restauration et le bâtiment (à noter que si l'activité de la construction neuve décroît, celle des travaux public s'accroît).

Le rattrapage d'activité après la crise sanitaire se tasse


L'enquête BMO portant sur les projets de recrutement des entreprises est réalisée avec le concours du CREDOC auprès de 73.520 établissements. 22.579 ont répondu dans un premier temps puis 852 lors d'une interrogation complémentaire. Il s'agit donc d'«une enquête très fiable» par l'ampleur du panel.

Les projets de recrutement en 2024 s'inscrivent en baisse de 8% France entière et de 7,7% en Bourgogne-Franche-Comté.

«On retrouve les niveaux d'embauches escomptées des années pré-COVID», note Odile Ferru, directrice régionale adjointe chargée des opérations en Bourgogne-Franche-Comté, qui souligne «une certaine homogénéité» parmi les différents départements.

France Travail mettra à profit cette enquête BMO pour orienter sa stratégie à l'égard des entreprises puisque «l'objectif est de transformer les projets en offres d'emploi».

«Nous aurons de belles perspectives de recrutements», anticipe Michel Swieton, «sur un plan opérationnel, l'activité entreprise est relativement forte dans l'activité de France Travail».

54% des intentions d'embauche se trouvent dans les services


Le secteur des services arrive en tête des intentions d'embauche (54% dont 37% pour les services aux particuliers), suivi de l'agroalimentaire et agriculture (17%), le commerce (12%), l'industrie (10%) et la construction (7%).

«Cette région continue d'embaucher fortement dans l'industrie, notamment de la main-d’œuvre qualifiée», insiste Michel Swieton.

«Les métiers de l'humain sont des métiers d'avenir et offrent de réelles opportunités d'emploi», indique également Odile Ferru alors que France Travail a noué un partenariat avec l'agence régionale de santé et la fonction publique hospitalière.

Les objectifs de la réforme de France Travail


«L'objectif de France Travail, c'est aller vers le plein emploi, c'est aller vers les personnes qui ne viennent pas naturellement voir les acteurs du réseau de l'emploi, c'est mieux travailler ensemble dans ce réseau de l'emploi», synthétise Michel Swieton à propos de la réforme du service public de l'emploi.

Pour atteindre ce plein emploi, les équipes de France Travail comptent aller plus vite pour réaliser l'inscription et les diagnostics d'orientation des demandeurs d'emploi, établir un contrat d'engagement dans le parcours de recherche d'emploi et d'insertion plus structuré et faire en sorte que les différentes étapes du parcours d'emploi soient plus fluides.

Parallèlement, le service public de l'emploi sera «encore plus orienté vers l'entreprise» et travaillera à l'articulation de ses outils numériques avec ceux des autres acteurs, en particulier des collectivités.

Le législateurs a prévu une simplification de la gouvernance avec l'ensemble des acteurs de l'emploi avec l'instauration d'un conseil national de l'emploi décliné dans les régions et les départements.

«La Bourgogne-Franche-Comté est en avance sur la préfiguration de la réforme de France Travail», signale le directeur régional.

France Travail déploie un «un grand plan de prospection pour aller vers les entreprises»


Affichant une volonté de «travailler en proximité de l'ensemble des entreprises», France Travail mobilise 200 conseillers dédiés à la relation entreprise en Bourgogne-Franche-Comté. 3.517 visites en entreprise ont été réalisées en 2023.

Selon Odile Ferru, «à chaque fois que l'on va voir 100 entreprises, c'est 7 emplois supplémentaire que nous créons en l'aidant à définir plus précisement ses besoins en compétences».

Dans ce contexte, France Travail déploie un «un grand plan de prospection pour aller vers les entreprises et leur faire découvrir [ses] solutions». Un des objectifs est d'atteindre une certaine «transparence du marché du travail» de manière à connaître l'ensemble des opportunités d'emploi sur le territoire.

La démarche est conduite selon trois axes : attirer les personnes vers les métiers qui recrutent, former en collaboration avec le conseil régional et, finalement, recruter.

Jean-Christophe Tardivon

Résultats de l’enquête de besoins en main-d’œuvre 2024 - Les intentions de recrutement des entreprises en Bourgogne-Franche-Comté
(communiqué)

France Travail Bourgogne-Franche-Comté publie chaque année les résultats de l’enquête sur les Besoins en Main-d’Œuvre.

Cette enquête concerne les projets de recrutement de l’ensemble des entreprises cotisant à l’Assurance chômage ainsi que les entreprises agricoles et les établissements publics.

L’enquête BMO est une enquête annuelle réalisée au niveau national par France Travail avec le concours du Centre de Recherche pour l’Étude et l’Observation des Conditions de vie (CREDOC).

Également déclinée en région, cette enquête fait état des « Besoins en Main-d’Œuvre » et met ainsi en lumière les intentions d’embauche et les perspectives de recrutement de l’ensemble des entreprises interrogées sur le territoire régional.

Pour rappel, l’enquête est constitutive de la loi du 13 février 2008, relative à la réforme du service public de l’emploi, portant sur le recueil, le traitement des données relatives au marché du travail et à l’indemnisation des demandeurs d’emploi.

SES OBJECTIFS

Conduite en fin d’année 2023 (entre début octobre et début décembre), l’objectif de cette enquête est de recueillir auprès des entreprises des informations relatives à leurs projets de recrutement pour l'année à venir : Combien ? Dans quels secteurs ? Sur quels métiers ?

MÉTHODOLOGIE ET CIBLES DE L’ENQUÊTE

Le champ de cette enquête est identique depuis plusieurs années, soit d’une part les établissements affiliés à l’Assurance chômage et, d’autre part : les établissements de 0 salarié ayant émis au moins une déclaration d’embauche au cours des 12 derniers mois ; les établissements du secteur agricole, les établissements du secteur public relevant des collectivités territoriales (communes, régions, etc.) ; les établissements publics administratifs (syndicats intercommunaux, hôpitaux, écoles, etc.).

Ne sont pas concernées dans le cadre de cette enquête, les administrations de l’État (Ministères, Police, Justice…) et les entreprises publiques (Banque de France, etc.).

22 579 établissements ont répondu à l’édition 2024 pour la Bourgogne-Franche-Comté. Cette année le taux de retour s’élève à 30,7%. Notons que les résultats ont été ensuite redressés pour être représentatifs par bassin, secteur et taille d’entreprises.

99 440 intentions d’embauche pour les employeurs de Bourgogne-Franche-Comté

En 2024, les intentions de recrutement des entreprises de Bourgogne-Franche-Comté restent à un haut niveau après 2 années de croissance exceptionnelle post-covid. L’enquête Besoins en Main-d’ Œuvre (BMO) comptabilise ainsi 99 440 embauches potentielles pour la Bourgogne-Franche-Comté. Des résultats qui, malgré une baisse cette année, sont en phase avec le dynamisme de la région.

Des projets de recrutement en légère baisse

Sur les 99 440 projets de recrutement, la diminution du nombre de projets d’embauche concerne particulièrement la construction (-17%), l’agriculture (-14%) et l’industrie (-11%) et le commerce (-7%) .

La part d’intentions d’embauche concernant les emplois saisonniers progresse très légèrement et s’élève à 30%.

Une dynamique des projets de recrutement portée par les établissements de services

Avec 54% des projets de recrutement en 2024, les services constituent et restent le principal secteur pourvoyeur de besoins en main-d’œuvre en BFC, totalisant 54 240 projets.

Avec 16 797 projets de recrutement, soit 17% du total, l’industrie agroalimentaire et l’agriculture demeurent le second pôle contributeur dans la région. Les 3 métiers qui recrutent le plus sont : Viticulteurs, arboriculteurs ; Agents d’entretien de locaux ; Aides de cuisine et employés polyvalents de restauration.

France Travail BFC, le réseau pour l’emploi et leurs partenaires, accompagnent les entreprises qui cherchent à recruter

Avec ce haut niveau du nombre de projets de recrutement, les employeurs anticipent en 2024 des difficultés de recrutement pour 56% de leurs projets. La santé et l’action sociale reste le secteur pour lequel les difficultés sont les plus importantes (61%).

Pour accompagner les entreprises dans leurs projets de recrutement, les 200 conseillers entreprises de France Travail BFC se mobilisent au travers :
- Des événements #TousMobilisés dédiés au recrutement en présence d’employeurs, à la découverte des métiers et des secteurs ou à la formation, qui ont lieu chaque semaine en agence ;
- D’immersions professionnelles pour tester in situ un métier, valider un projet professionnel ou initier un recrutement et le sécuriser ;
- D’actions de formation préparatoires à l’emploi ;
- Des méthodes de recrutement alternatives et plus inclusives, basées sur l’habilité des candidats et permettant ainsi d’identifier leur potentiel et leur motivation : Méthode de Recrutement par Simulation, Du Stade vers l'Emploi, restaurant éphémère, Job dating inversé, etc.

Les principaux résultats régionaux BMO 2024

QUELS PROJETS DE RECRUTEMENT EN RÉGION BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE ? QUELLES ÉVOLUTIONS ?

Cette année, 99 440 intentions d’embauche sont formulées par les entreprises de Bourgogne-Franche-Comté. L’enquête BMO 2024 fait état d’une diminution de 8,3% du nombre de projets de recrutement (8 340 projets de moins qu’en 2023).

Sur les 99 440 projets de recrutement annoncés en 2024, 61% sont durables (CDD de + 6 mois). 26,6% des entreprises de Bourgogne-Franche-Comté interrogées envisagent de recruter du personnel au cours de l’année 2024. Plus d’un projet d’embauche sur 3 dans les établissements de moins de 5 salariés.

54 % de ces projets sont issus d’entreprises de services. Viennent ensuite le secteur de l’industrie agro-alimentaire et de l’agriculture qui représente 17% des projets en 2024, puis le commerce avec 12%, l’industrie manufacturière avec 10%, et la construction avec 7%.

LES CHIFFRES CLÉS DE L’ENQUÊTE 2024

99 440 projets de recrutement en région Bourgogne-Franche-Comté ;
61% sont des contrats durables ;
26% des entreprises de Bourgogne-Franche-Comté envisagent de recruter ;
6 projets de recrutement  sur 10 sont issus d’entreprises de services ;
71% des projets sont exprimés par des entreprises de moins de 50 salariés ;
56% des recrutements sont jugés difficiles par les employeurs.

LES PROJETS DE RECRUTEMENT JUGÉS DIFFICILES PAR LES EMPLOYEURS EN BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE

Parmi les 99 440 projets de recrutement déclarés, 56% sont jugés difficiles par les entreprises en 2024.

En 2024, les difficultés se concentrent essentiellement sur les métiers de l’industrie, la santé et de l’action sociale, de l’agriculture, des services scientifiques, techniques, administratifs et soutien, hébergement et restauration, commerce et la construction.

FRANCE TRAVAIL :  UN RÉSEAU DE PROXIMITÉ AUX CÔTÉS DES ENTREPRISES

La Bourgogne-Franche-Comté se trouve dans une situation économique dynamique avec un des taux de chômage les plus bas de France : 6,6 %. Les opportunités d’emploi sont nombreuses. Aujourd’hui plus de 52 000 offres d’emploi sont disponibles en Bourgogne-Franche-Comté sur francetravail.fr.

Des secteurs représentent de forts potentiels en recrutement : agroalimentaire,industrie, commerce, agriculture, santé et action sociale, hôtellerie-restauration, bâtiment, etc.

France Travail Bourgogne-Franche-Comté, le réseau pour l’emploi et leurs partenaires, accompagnent les entreprises qui cherchent à recruter, en leur proposant de procéder différemment afin d’élargir le vivier de candidats et de proposer des candidatures auxquelles les employeurs n’auraient pas pensé mais dont les aptitudes, les compétences pourraient correspondre à leurs besoins.

France Travail a recours notamment aux méthodes de recrutement alternatives et plus inclusives, basées sur l’habilité des candidats et permettant ainsi d’identifier leur potentiel et leur motivation.

En effet, les difficultés de recrutement sont présentes, mais pas nouvelles.

Le modèle classique ne répond plus toujours à la demande et les entreprises doivent recruter autrement. Les conseillers Entreprises de France Travail innovent et bousculent les codes du recrutement pour répondre aux besoins des employeurs.

QUELQUES ILLUSTRATIONS EN BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE

Restaurant éphémère à Dole : une opération pour recruter autrement

Le 4 avril dernier, s’est tenu à Dole le 1er restaurant éphémère de BFC au Moulin des Ecorces, restaurant appartenant à Patrick Franchini, Président de l’UMIH du Jura.

Cette opération s’adresse aux personnes désireuses d’intégrer ou d’évoluer dans les métiers de la restauration, n’ayant pas forcément de l’expérience ou un diplôme dans ce secteur, mais qui ont la motivation et quelques talents en cuisine, ou un très bon relationnel pour exercer en salle. Les candidats sont mis en situation réelle : soit en cuisine, soit en salle. Le tout se fait comme dans un vrai restaurant, le temps d’un service, et en présence d’employeurs recruteurs.

Le principe de cet événement de recrutement est de mettre en situation ces demandeurs d’emploi en leur faisant vivre un véritable service de restaurant en conditions réelles. Coachés et encadrés par des professionnels, ils assurent la préparation d’un menu type en cuisine et le service en salle où le rôle de client est tenu par des employeurs locaux ayant des besoins en recrutement.

Casser les codes du recrutement

Après le service en situation réelle, un temps d’échange sous format job dating, est organisé afin que les candidats se présentent aux potentiels recruteurs. Ce recrutement original permet aux recruteurs de rencontrer des profils qu’ils n’auraient pas forcément sélectionnés dans un processus de recrutement plus conventionnel et aux demandeurs d’emploi de valoriser leurs savoir-être et compétences pour occuper ces métiers demain.

Stade vers l’emploi : Pour casser les codes du recrutement

Ce rendez-vous emploi innovant propose aux entreprises de recruter autrement, sans CV, en se concentrant sur les savoir-être des candidats, mis en valeur par la pratique collective d’un sport et sans notion de compétition.

Employeurs et candidats partagent des activités physiques et sportives de façon anonyme, seul leur prénom est notifié sur un dossard... Une belle occasion de mettre en avant les compétences personnelles et collectives des demandeurs d’emploi, et des recruteurs ! Les activités permettent de mettre en valeur les qualités professionnelles, les qualités humaines et relationnelles : esprit d’équipe, capacité d’écoute et de mobilisation, rigueur, sens de l’anticipation, autonomie… Un objectif : faire que les recruteurs et les candidats se découvrent autrement, sans le filtre formel de l’entretien professionnel sur rendez-vous après l’envoi du CV.

En 2023, 8 « Stade vers l’emploi » ont été organisés, 18 seront proposés en Bourgogne-Franche-Comté en 2024.

La situation de l'emploi en Côte-d'Or en ce début d'année 2024


Le dossier de France Travail sur l'actualité de l'emploi et du travail en Bourgogne-Franche-Comté


En Bourgogne-franche-Comté, le nombre de demandeurs d'emploi augmente de 1,6% au premier trimestre 2024


En Bourgogne-Franche-Comté, l’emploi salarié toujours en baisse dans la filière automobile au premier semestre 2023


Du stade vers l'emploi, le job dating en baskets et jogging









Michel Swieton, directeur régional de France Travail en Bourgogne-Franche-Comté

Odile Ferru, directrice régionale adjointe chargée des opérations en Bourgogne-Franche-Comté

Djellali Chaou, directeur territorial de France Travail en Côte-d'Or