
Le site localisé au Creusot, employant 800 salariés, est concerné par un
processus d'évolution d'actionnariat de cette filiale du groupe
ArcelorMittal. La CGT adresse un courrier à sept ministres et aux parlementaires de Saône-et-Loire : «on a besoin que l'État mette le nez dedans pour le nucléaire civil et pour la défense».