La comédie musicale autour des chansons de Michel
Sardou arrive à Dijon et racontera, à travers ses grands classiques, la
croisière de deux générations. Parmi les premiers rôles, celui du dijonnais
Boris Barbé.
Entre le stress de jouer à Dijon mais aussi devant son fils de 5 ans,
Boris Barbé dévoile pour Infos-Dijon, les coulisses de ce spectacle de rentrée incontournable.
Des chansons iconiques et des textes toujours
d’actualité, «Je vais t’aimer», est une comédie musicale générationnelle
débordante d’énergie positive, communicative, des destins croisés qui vous
emmèneront du port du Havre à New-York, à Paris ou encore Marrakech à bord du
paquebot France. Ce sont des extraits de
vie, des moments d’émotions intemporelles où chacun pourra se reconnaitre.
«C’est un spectacle drôle et émouvant mais ce n’est
pas un biopic sur Michel Sardou » nous dit d’emblée Boris Barbé. «On raconte
l’histoire de jeunes français qui se déroule sur 40 ans et sur trois continents
à partir des grandes chansons de Michel Sardou comme, La maladie d’amour, En chantant, les Vieux mariés et bien sûr, Je
vais t’aimer»
Vous jouez le rôle de Léo
Boris Barbé : «Léo, un riche armateur, emmène sa femme en voyage de
noces et a tout pour être heureux. Il vit sur la fortune de son père, mais le
fait qu’il soit riche va lui attirer des ennuis. Malgré tout, sa vie amoureuse
rempli de bonheur va durer 40 ans. C’est une vie amoureuse avec des hauts et
des bas bien sûr, dans laquelle le public va pouvoir se retrouver. On est dans
la vraie vie»
L’importance des chansons
«Les chansons vont appuyer certaines périodes de ma
vie notamment au moment où avec mon épouse, Nicole, on va interpréter, les
Vieux mariés, ou encore un titre un peu moins connu, Parlons de toi, de moi, qui
prend tout son sens à travers l’histoire»
Comment vous repérer sur scène dès le levé de rideau ?
«Au départ je suis omni présent, comme tout le monde sur
scène. Mais vous pourrez facilement me repérer à mon costume qui ne passe pas
inaperçu. Il est de couleur rose. En fait je dois avouer que je suis assez
chic avec ce costume rose. Et puis vous me reconnaitrez facilement parce que je
suis le plus grand de la troupe.
(rire)»
Jouer à Dijon est une pression supplémentaire pour
vous ?
«Oui. Clairement oui. Alors bien sûr il y a eu la
première à Lille ou là, nous avions tous la pression. Mais ça s’est super bien
passé. Maintenant, j’ai envie de dire que pour toute la troupe, ça y est, nous
sommes lancés. Mais moi, j’ai encore cette date du mercredi 10 novembre à Dijon. J’ai de
nombreux messages de gens qui me disent qu’ils vont venir, qu’ils m’attendent. Si
ça me fait très plaisir ça me met une pression supplémentaire parce que je ne
veux décevoir personne. Mais je suis très heureux de jouer à Dijon, au Zénith
que je connais pour y avoir déjà chanté»
Et dans le public il y a aura un très jeune garçon
«Oui c’est une belle surprise, mon fils sera dans le
public. Je l’ai un peu briefé sur le spectacle et sur certaines scènes, parce
qu’il n’a que 5 ans. Mais il a compris et il est content de venir voir son
papa sur scène. Et moi je suis ravis et très fier»
Norbert Banchet
Photos : Thomas Vollaire«Je vais t'aimer» - Mercredi 10 novembre - 20h30 - Zénith Dijon
Tarif : Dès 35 euros
Infos et réservations : Points de vente habituels