Ce mardi 24 décembre, le bonhomme rouge a été accueilli au sol par la maire de Dijon Nathalie Koenders. Les sapeurs-pompiers spécialistes des milieux périlleux ont contribué à sécuriser la descente en tyrolienne.
La tradition née en 1951 a été respectée. Les Dijonnais étaient au rendez-vous pour accueillir le Père Noël et déguster des papillotes, ce mardi 24 décembre 2024, au pied du palais des ducs de Bourgogne.
Orchestrée par la Ville de Dijon, la descente du Père Noël depuis le sommet de la tour Philippe Le Bon – à 46 mètres de hauteur – s'est déroulée sans encombre, par un temps frais et sec, devant plus de 4.000 Dijonnais et visiteurs, selon le décompte des services de la collectivité.
Les sapeurs-pompiers du SMPM ont formé les lutins du Père Noël
Pour sécuriser cet exercice qui marque le début de sa distribution de cadeaux à Dijon, le Père Noël était accompagné de cinq lutins, formés par les sapeurs-pompiers spécialistes du secours en milieux périlleux et montagne (SMPM) du Service départemental de secours et d'incendie de la Côte-d'Or.
L'intrépide vieillard aux épais cheveux blancs et à la barbe étoffée de la même couleur a parcouru les 80 mètres de la tyrolienne en relançant régulièrement les applaudissements des petits et des grands dans la foule.
Nathalie Koenders et ses adjoints distribuent les papillotes
Au sol, le Père Noël a été accueilli par Nathalie Koenders qui lui a proposé de distribuer ensemble des papillotes aux enfants. La maire de Dijon a reçu le concours d'élus municipaux, dont plusieurs adjoints, pour partager ce moment festif.
L'événement s'est déroulé avec le renfort d'agents des services de la Ville de Dijon, d'agents de sécurité, de secouristes de la Protection civile, d'agents de la police municipale et de la Police nationale ainsi que de militaires de la force Sentinelle.
Avant la descente proprement dite, les spectateurs ont pu apprécier un son et lumière conçu par la société Graphics eMotion (
lire le communiqué) qui a évoqué l'environnement, l'attractivité de la ville et la cohésion sociale pour ensuite faire la transition en se terminant par une référence à la magie de Noël.
Jean-Christophe Tardivon