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25/03/2025 19:28

DIJON : Les principaux débats du conseil municipal du 24 mars

Les élus ont amplement débattu du projet de restructuration du parc des expositions et ont réagi aux annonces de la maire de Dijon en matière d'urbanisme. Nathalie Koenders a indiqué que la médiathèque Champollion pourrait ne plus être assurée à la suite de son incendie.
Sécurité, grands projets, urbanisme, éducation, mobilités... les thèmes du conseil municipal de ce lundi 24 mars 2025 ont été particulièrement variés. Les élus ont notamment examiné le projet municipal de restructuration du parc des expositions et ont découvert l'inflexion urbanistique de Nathalie Koenders (PS), maire de Dijon.

La session s'est déroulée en présence, dans le public, de membres du Conseil participatif des jeunes dont la charte et le règlement ont été présentés aux élus.

Absent, le conseiller municipal François Rebsamen (PS, FP) avait donné son pouvoir à Nathalie Koenders.

Hommage au Docteur André Jacquey


Après une heure et demie à huis clos pour des échanges avec le préfet de la Côte-d'Or et le procureur de la République de Dijon sur le thème de la lutte contre le narcotrafic (lire notre article), le conseil municipal débute par une minute de silence en hommage au Docteur André Jacquey, décédé ce dimanche 23 mars, en présence de ses enfants parmi le public.

Emblématique médecin du quartier des Grésilles, de 1970 à 1998, André Jacquey s'est investi dans la vie associative et politique de la cité, notamment en tant que vice-président de la Maison des parents du CHU Dijon Bourgogne et adjoint au maire Robert Poujade, chargé des questions d'enfance et d'éducation, de 1983 à 2001.

Par ailleurs, André Jacquey a été également conseiller général de la Côte-d'Or, élu sur le canton des Grésilles, de 1982 à 2008, et conseiller régional de Bourgogne, de 2007 à 2010.

Un projet de restructuration du parc des expositions


La maire de Dijon présente ensuite le projet de restructuration du parc des expositions : «l'objectif de cette rénovation est de renforcer la capacité d'accueil de l'ensemble du palais des congrès et du parc des expositions enc réant une salle plénière de 2.500 personnes dans le Hall 1 que nous allons conserver».

Ce projet municipal est estimé à hauteur de 62 millions d'euros hors taxes (lire notre article).

«La question du stationnement reste un point sensible», remarque Axel Sibert


Conseiller municipal d'opposition, non-inscrit, Axel Sibert (LR) salue l'initiative municipale mais fait rapidement part de «réserves et suggestions» sur le projet.

«La question du stationnement reste un point sensible», remarque-t-il à propos d'un sujet évacué par l'exécutif. «Une réflexion plus poussée sur l'extension des capacités de stationnement aurait pu être incluse pour anticiper les besoins», indique-t-il avant d'évoquer le projet de tram-train qu'il propose en vue des élections municipales (lire notre article).

L'opposant regrette également que le palais des sports, «équipement vieillissant et de moins en moins adapté au sport de haut niveau», ne soit pas, lui non plus, intégré à la restructuration.

«Le parking est maintenu», répond Nathalie Koenders, «l'objectif est de faire en sorte que davantage de personnes viennent en tramway». «La desserte de tramway devra être renforcée. On va travailler avec les parkings-relais dans tous les quartiers de la ville.»

Emmanuel Bichot critique le choix d'un marché global de performance


«La rénovation du parc des expositions est une nécessité depuis plus de dix ans», cingle Emmanuel Bichot (LR, AD), «il est incompréhensible, au regard de la vétusté des installations, que l'actuelle municipalité ait tergiversé aussi longtemps, sans parler de multiples cafouillages».

«Nous nous félicitons de vous avoir convaincue de conserver la charpente métallique remarquable du Hall 1 qui fait partie de notre patrimoine dijonnais», glisse-t-il.

Le président du groupe d'opposition Agir pour Dijon émet, lui aussi, des «réserves» sur le projet comme le choix d'un marché global considéré comme n'étant pas «favorable» aux entreprises locales. «Encore une fois, vos choix favorise d'emblée les grands groupes nationaux, Eiffage ou d'autres, au détriment de l'activité et de l'emploi local.»

L'élu conservateur propose d'«organiser l'arrivée depuis le tram directement par l'entré historique du grand hall avec ses quatre colonnes» et de «garder modulable le Hall 1 sans construire une salle fixe de 2.500 places à l'intérieur».

Dans la foulée, l'opposant s'interroge sur «l'éventuelle pollution du terrain par des terres bleues en lien avec son histoire ferroviaire».

Lui aussi demande «une augmentation des capacités de parkings».

La Ville de Dijon envisage de confier la gestion bâtimentaire de l'équipement, de la conception à la maintenance


«Compte-tenu de sa complexité, le projet n'est pas réalisé en montage classique», indique Nathalie Koenders, «il y aura le choix d'un maître d’œuvre, d'un d'architecte, des études puis une consultation de travaux». «Ce type de marché permet à la collectivité de confier la conception, la réalisation ainsi que l'entretien et la maintenance d'un ou plusieurs bâtiments sur une durée déterminée. (…) Dans un marché classique, on n'aurait pas pu imposer le maintien de la Foire gastronomique.»

«On sera très attentif pour que le maximum d'entreprises locales puissent répondre dans le respect des procédures de marché public», assure la maire de Dijon, «le maître d'ouvrage restera la Ville et la [société publique locale Aménagement de l'agglomération dijonnaise]».

«Il n'y a pas de pollution des sols avérées», remarque-t-elle.

Laurent Bourguignat interroge la «stratégie globale»


Se démarquant des orateurs précédents, Laurent Bourguignat (LR, NE) se dit favorable à la création d'une entrée principale au niveau du boulevard de Champagne.

«La stratégie globale privilégie clairement la partie palais des congrès à la partie parc des expositions», analyse le président du groupe d'opposition Dijon autrement qui craint que Dijon ne puisse, à l'avenir, organiser de «grands salons nationaux voire internationaux» puisque «la surface restera inchangée».

Ce faisant, l'élu gaulliste regrette que «le travail ne se fasse pas sur l'ensemble de l'emprise», en intégrant le bâtiment du skate parc et du palais des sports.

Lui aussi regrette l'absence d'une «réflexion sur le stationnement» et plaide pour «la construction d'un parking silo» près de la voie ferrée voisine.

«C'est le contraire, on a des difficultés pour accueillir de grands congrès», réagit Nathalie Koenders dont l'objectif est de «faire un lien entre le parc des expos et les congrès».

«Il n'y a pas d'études mais on a un coût de travaux», s'étonne Stéphanie Modde


La première réaction de Stéphanie Modde (LE) est d'appeler à «faire un plan de déplacements» autour de l'équipement rénové pour éviter d'«attirer de nouveaux véhicules».

«On n'a pas grand chose dans le dossier. Il n'y pas d'étude (…) mais on a un coût de travaux», s'étonne la présidente du groupe d'opposition des Écologistes et citoyens qui demande «une pré-étude robuste». «C'est un peu précipité cette présentation.»

Hamid El Hassouni revendique de «garantir à notre ville une infrastructure moderne et compétitive»


Président du groupe Horizons et indépendant, participant à la majorité, Stéphane Chevalier (HOR) considère qu'«il était fondamental de maintenir le parc des expositions au cœur de Dijon».

Coprésident du groupe Socialiste, radical, citoyen et apparenté, principal groupe de la majorité, Hamid El Hassouni (PS) considère que «nous avons une responsabilité, celle de garantir à notre ville une infrastructure moderne et compétitive».

Président du groupe du Modem, François Deseille (Modem) relève qu'il s'agit d'«un formidable outil d'attractivité placé en cœur de ville» et s'intéresse au contour financier de l'opération.

En réponse, Nathalie Koenders assure avoir obtenu les «engagements» des responsables de la Région Bourgogne-Franche-Comté et de la Métropole de Dijon d'un potentiel cofinancement, sans pour autant avancer de montant. Participant au capital de l'exploitant du parc des expositions, le Département de la Côte-d'Or pourrait également contribuer.

Vote d'une convention entre la Ville de Dijon et la SPLAAD


Le vote du jour porte principalement sur la convention de prestations intégrées entre la Ville de Dijon et la SPLAAD qui sera chargée de réaliser l'opération.

Le rapport est finalement adopté, seuls six élus exprimant une abstention sur le sujet.

Avant la signature du marché global de performance, un nouveau vote devrait porter sur une autorisation de programme qui «confirmera le montant de la dépense et précisera son financement».

«Le foncier est devenu un bien à préserver», souligne Nathalie Koenders


«Ce n'est pas la contestation qui me fait reculer, c'est le bon sens», déclare Nathalie Koenders en officialisant le fait que la Ville de Dijon ne fera pas appel de l'annulation du permis de construire de l'opération immobilière Venise II après une mobilisation citoyenne et juridique (lire notre article).

«Le foncier est devenu un bien à préserver avec des préoccupations environnementales toujours plus grands», souligne la socialiste.

Laurent Bourguignat note «une inflexion dans la politique d'urbanisme menée à Dijon»


«Bravo pour ce bel exercice de ''en même temps''», ironise Laurent Bourguignat, «vous arrivez à rendre à la fois hommage à la politique de densification intensive de Pierre Pribetich [NDLR : ancien élu chargé de l'urbanisme, désormais conseiller municipal sans délégation et député de la Côte-d'Or] tout en la critiquant puisque vous vous souhaitez une ouverture et davantage de nature en ville».

«On note une inflexion dans la politique d'urbanisme menée à Dijon», poursuit l'opposant qui «espère que ce ne sont pas des nouvelles orientations liées uniquement à l'approche des élections mais qu'il y a bien là une prise de conscience d'un besoin d'un urbanisme plus apaisé» et appelle à «un cadre stable» avec la révision du PLUi-HD métropolitain pour sortir du «cas par cas» lié aux mobilisations citoyennes.

«Modifiez le PLUi-HD», exhorte Emmanuel Bichot


«Nous avons l'impression qu'aujourd'hui, vous faites surtout montre d'électoralisme», lance Emmanuel Bichot, «il faut vraiment attendre que vous ayez l'opposition de tout un quartier ou que vous soyez condamnée deux fois de suite par la justice (…) pour faire une annonce». «On ne sait pas bien si c'est juste de temporiser ou de changer de politique.»

«Si vous voulez mettre un terme à ces grands programmes immobiliers, modifiez le PLUi-HD», exhorte l'opposant, «vos annonces ne vous coûtent pas grand chose et sont formulées de telle manière que tout est possible si vous étiez réélue en mars 2026».

En amont du conseil municipal, Nathalie Koenders a envisagé le lancement d'«une révision du PLUi-HD» au début de la prochaine mandature métropolitaine. Un processus qui pourrait durer deux ans.

«Quand la société évolue, on fait évoluer cette politique», réagit Nathalie Koenders


«Je n'ai pas dit que c'était une rupture, c'est une continuité», souligne  Nathalie Koenders, «après vingt ans d'une politique menée, quand la société évolue, on fait évoluer cette politique».

«Dans votre intervention, vous avez expliqué votre nouvelle vision de l'urbanisme permettant la protection de la planète Terre et de la biodiversité, nous saluons cette inflexion», indique sobrement Frédéric Faverjon (LE), au nom du groupe d'opposition Écologistes et citoyens.

Pierre Pribetich reconnaît «l'urgence d'avoir une politique qui prenne en compte l'accélération du changement climatique»


Pour sa part, Pierre Pribetich (PS) renvoie à l'historique de la situation héritée par la majorité de François Rebsamen élue en 2001 avant que la commune ne passe de 12% à 20% de logements à loyer modéré en quelques vingt ans, faisant d'elle «une ville écologique et accessible».

Ainsi, celui qui a été une figure emblématique de l'urbanisme à Dijon rappelle l'organisation de 170 réunions pour passer de 26 documents communaux à un plan local d'urbanisme intercommunal permettant «la reconstruction de la ville sur elle-même».

Aujourd'hui, le socialiste reconnaît «l'urgence d'avoir une politique qui prenne en compte l'accélération du changement climatique» et concède «le besoin d'équilibrer les choses d'une autre manière».

«Il ne faut pas déporter la fonction d'habitat à l'extérieur de la métropole», alerte-t-il toutefois, «nous avons besoin de logement et nous avons besoin aussi de concilier la biodiversité (…) et une forme d'équilibre thermique».

«Vous pouvez compter sur mon soutien», adresse-t-il à l'intention de la première édile. Un propos ponctué de quelques applaudissements timides dans les rangs de la majorité.

9 fermetures et 4 ouvertures de classes dans les écoles dijonnaises


Le 20 février dernier, le rectorat de l'académie de Dijon a indiqué la carte scolaire envisagée pour la rentrée de septembre 2025 à l'échelle de la Côte-d'Or (lire notre article).

En particulier, à Dijon, les services départementaux de l’Éducation nationale prévoient 9 nouvelles fermetures de classe – sans compter 2 pérennisations de fermetures prononcées l'année passée – et 4 nouvelles ouvertures de classe – sans compter 4 pérennisations d'ouvertures prononcées l'an dernier.

Des ajustements pourraient survenir en juin ou août prochains.



Divergences sur le nombre d'élèves entre la Ville de Dijon et le rectorat


Le 23 septembre dernier, François Rebsamen, alors maire de Dijon, avait évoqué une hausse de plus de cent élèves dans les écoles de la commune à la rentrée 2024. Une donnée toujours reprise dans les documents de la collectivité. En revanche, le rectorat recensait une diminution de 113 élèves (lire notre article).

En amont du conseil municipal, Nathalie Koenders a indiqué «ne pas comprendre» l'écart entre les données de la Ville de Dijon et celles du rectorat.

La maire de Dijon a émis l'hypothèse d'un décalage lié à des «inscriptions tardives» des familles : «on a repris la main sur les inscriptions, avant c'étaient les directeurs d'école ; la Ville se trompe peu parce qu'on a des prévisions par rapport à nos quartiers, aux écoles maternelles, aux naissances, les opérations de logement».

Et de rappeler que la campagne d'inscription dans les écoles a débuté.

Les élus demandent au rectorat de créer une unité pédagogique pour élèves allophones arrivants supplémentaire


En séance, l'adjoint au maire de Dijon Franck Lehenoff (PS) présente le rapport en demandant particulièrement au rectorat de «favoriser l'inclusion des enfants en situation de handicap», de «mieux accompagner les enfants allophones» et de «préserver les capacités d'accueil des enfants de moins de trois ans notamment dans les quartiers où les besoins socio-éducatifs sont prégnants».

«Ce n'est pas acceptable d'avoir des fermetures qui ne sont pas compensées», déclare la maire de Dijon.

À l'unanimité, les élus émettent un avis favorable aux ouvertures de classes et un avis défavorable aux fermetures de classes lorsqu’elles ne sont pas compensées.

Ils demandent «le réexamen des situations des écoles à forts effectifs et dont les besoins socioéducatifs sont importants» et «la création d’une unité pédagogique pour élèves allophones arrivants (UPE2A) supplémentaire dans le sud du territoire dijonnais».

Possible réouverture de la Médiathèque Champollion au premier trimestre 2026


Selon Nathalie Koenders, il y a de «fortes suspicions» que l'incendie de la médiathèque Champollion soit lié au narcotrafic (lire notre article). L'enquête est en cours, sans interpellation à ce jour.

Plus de 17.000 documents ont été détruits lors de l'incendie. La structure du bâtiment pourrait avoir été endommagée puisque «l'ossature bois a été attaquée».

Un diagnostic approfondi est à établir pour envisager une estimation du coût des réparations : «on demandera une aide de l’État comme cela a pu être le cas pour tous les bâtiments publics qui ont été incendiés».

La première édile envisage, au mieux, un début des travaux à l'automne prochain pour une remise en service durant le premier trimestre 2026.

La médiathèque Champollion pourrait ne plus être assurée


En attendant, «les agents de la médiathèque ont été rattachés à une bibliothèque du réseau», un «service transitoire» est désormais proposé à l'accueil de l'Atrium et une réflexion est engagée pour implanter prochainement une «médiathèque temporaire» dans un local situé au 17 du boulevard Champollion.

La médiathèque Champollion pourrait ne plus être assurée. En effet, à la suite des émeutes urbaines successives à la mort du jeune Nahel, à Nanterre, le 27 juin 2023, l'Association des maires de France note que de nombreuses communes souhaitant assurer des bâtiments publics font désormais face à des «résiliations brutales», une «hausse parfois vertigineuse des primes et des franchises» ou encore à l'«absence de réponse aux appels d’offres» de la part des assureurs.

Dijon deuxième d'un classement culturel du Parisien


Après les examens des rapports, Nathalie Koenders signale que Dijon figure à la deuxième place des «meilleures villes où faire une virée culturelle en France», selon un classement du «Parisien». La première étant Avignon, dans le Vaucluse (retrouver l'article).

Un groupe de travail sur la liaison TGV avec Roissy


Le 21 mars dernier, François Rebsamen  a annoncé le rétablissement d'une liaison TGV entre Dijon et Roissy en 2027 (lire notre article).

«Un groupe de travail va être lancé pour une ligne Besançon-Dijon-Montbard-Marne-la-Vallée-Roissy et un aller-retour par jour Dijon-Lille», a précisé Nathalie Koenders, en amont du conseil municipal, distinguant donc Besançon-Roissy de Dijon-Lille.

En effet, le 9 mai 2023, François Rebsamen avait évoqué une solution s'appuyant sur la liaison Lille-Montpellier, ne passant donc pas par Besançon (lire le communiqué).

Une potentielle participation financière pour rétablir la ligne TGV Dijon-Roissy


Avant une question orale du groupe Dijon autrement, Nathalie Koenders fait part de sa «prudence» concernant l'annonce faite par François Rebsamen.

À son tour, Henri-Bénigne de Vregille exprime sa «vigilance» et indique attendre «l'engagement de la SNCF».

«J'attends de voir la participation demandée aux différentes collectivités», insiste la maire de Dijon. Puisque la ligne Mulhouse-Lille était déficitaire avant la crise sanitaire, le groupe SNCF pourrait solliciter financièrement les collectivités concernées.

Le groupe Agir pour Dijon interroge la maire sur le sondage municipal annuel


Au nom du groupe Agir pour Dijon, Laurence Gerbet interroge la première édile sur ce qu'elle considère être un «sondage politique» : «qui a commandé ce sondage ? Pour quel budget ? Qui sont les financeurs ?»

«Chaque année [hors année électorale], depuis vingt ans, à peu près à la même époque, la municipalité de Dijon confie à un organisme professionnel le soin d'organiser une enquête auprès des Dijonnaises et des Dijonnais», rétorque la maire de Dijon.

«Le budget est à peu près identique : 22.100 euros pour 2025 et les coûts sont normés», précise la responsable de l'exécutif, «pas un centime d'argent public ne va à des questions politiques».

«La Ville respecte la réglementation», insiste Nathalie Koenders avant de pointer les «insinuations obsessionnelles» d'Emmanuel Bichot diffusées sur les réseaux sociaux.

«Vous n'avez pas répondu», réagit l'opposant hors micro – en référence aux «financeurs» du sondage – tandis que la maire de Dijon prononce la fin de la séance.

Jean-Christophe Tardivon

Nathalie Koenders expose «la vision qu'elle porte en matière d'urbanisme» à Dijon


Face au narcotrafic, «il faut que les élus soient parfaitement informés pour être aux côtés de la justice et des forces de sécurité intérieure», déclare le préfet devant les conseillers municipaux dijonnais


La municipalité estime le coût de la restructuration du parc des expositions à plus de 60 millions d'euros


L'exécutif métropolitain chiffre à 200 millions d'euros la création d'une troisième ligne de tramway


Les principaux débats du conseil métropolitain du 27 mars


Les informations marquantes du conseil métropolitain du 27 mars


François Rebsamen regrette que «l’Assemblée nationale ait décidé la suppression des zones à faibles émissions»


La ligne Dijon-Roissy pourrait constituer «le premier TGV des trains d'équilibre du territoire»





































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