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06/11/2024 20:32

DIJON : Un nouvel ensemble immobilier articule un lien intergénérationnel entre jeunes actifs et personnes âgées dépendantes

Un «ensemble d'habitat mixte» a été inauguré, ce mercredi 6 novembre, boulevard Voltaire, notamment par Céline Vialet et Nathalie Koenders. Le projet immobilier de 37 millions d'euros s'inscrit dans la démarche de CDC Habitat qui vise à «faire revenir les personnes âgées dans le centre des villes».
C'est l'aboutissement d'un dossier qui a nécessité huit années de travail. Ce mercredi 6 novembre 2024, à Dijon, trois bâtiments hébergeant respectivement des jeunes actifs et des personnes âgées ont été inaugurés sur le site Terrot Town, boulevard Voltaire.

Il s'agit de deux aspects d'un projet intergénérationnel porté par CD Habitat et développé par Adim avec le soutien de la Banque des territoires, du Département de la Côte-d'Or et de la Ville de Dijon.

Un «ensemble d'habitat mixte» sur l'ancien site Jtekt désormais appelé Terrot Town


«Faire revenir les personnes âgées dans le centre des villes» était le mot d'ordre associé à ce projet articulant principalement une résidence sociale destinée aux jeunes actifs et un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD).


En lien avec la Ville de Dijon et la Métropole de Dijon, le groupe CDC Habitat, filiale de la la Caisse des dépôts et consignations, a souhaité réaliser un «ensemble d'habitat mixte» pour «faciliter le logement des jeunes et des seniors, en leur donnant accès à des services adaptés».

Sur l'ancien site industriel de Jtekt – occupé encore avant par les usines Terrot dont la façade de 20 mètres de hauteur a été préservée –, trois nouveaux bâtiments totalisent 12.700 m² de surface de plancher.

Ils ont été développés par Adim Lyon, filiale de Vinci Construction, dessinés par Carta-Reichen et Robert Associés, une agence d'architecture parisienne, et réalisés par C3B, autre filiale de Vinci Construction.

Les opérateurs immobiliers ont dû traiter la dépollution de l'amiante et du plomb notamment. 48% de la surface du site industriel ont été désimperméabilisés. Les nouveaux bâtiments sont raccordés au réseau de chauffage urbain métropolitain.

La résidence sociale Kamino Terrot Town de 142 logements est exploitée par Adoma, l'EHPAD Les Jardins de Voltaire - Paulette Guinchard de 165 places est exploitée par l'établissement public communal d'accueil des personnes âgées de la Ville de Dijon (EPCAPA). S'ajoute une résidence de 15 logements sociaux pour personnes âgées autonomes, géré par Grand Dijon Habitat.

Le nouvel EHPAD a ouvert en janvier dernier et, après leur déménagement, a accueillis des résidents précédemment hébergés dans les EHPAD des Marguerites et du Port du Canal.

La résidence porte le nom de Paulette Guinchard, née en 1949 et décédée en 2021, militante socialiste qui a été notamment secrétaire d’État aux personnes âgées dans le gouvernement Jospin, de 2001 à 2002, et députée du Doubs durant plusieurs années. Atteinte d'une maladie neurodégénérative, Paulette Guinchard a revendiqué de recourir au suicide assisté en Suisse.

37 millions d'euros investis par CDC Habitat et Adoma


Le groupe CDC Habitat a investi 25 millions d'euros pour la construction de l'EHPAD et 2 millions d'euros pour la résidence destinée aux seniors autonomes, dont 25% de fonds propres.

Adoma a investi près de 10 millions d'euros dont 1,14 million d'euros de fonds propres. La Banque des territoires, relevant de la Caisse des dépôts et consignations, a prêté 27 millions d'euros pour mener à bien ce projet. Le Département de la Côte-d'Or a accordé une subvention de 1,13 million d'euros pour la réalisation de l'EHPAD. Les subventions de la Ville de Dijon et de la Métropole de Dijon totalisent 1,24 million d'euros. Action Logement Services a accordé une subvention de 710.000 euros, complétée par un prêt de 270.000 euros.

Adim a réalisé un EHPAD avec «rafraîchissement dans toutes les chambres»


«Une personne âgée a besoin d'être dans le lien social, elle a besoin d'être visitée par sa famille, le personnel a besoin d'intervenir», a souligné Laurent Putzu, directeur d'Adim Lyon, «quoi de mieux que de ramener des gens de l'isolement au centre des villes».

«Les jeunes actifs ont besoin de se déplacer et d'avoir un logement pas cher», a analysé Laurent Putzu, «les mettre ici, c'est, quelque part, les aider à vivre leur vie : ils sont à deux pas de l'hyper-centre, ils peuvent prendre les transports en commun également».

Le directeur d'Adim Lyon a signalé avoir «travaillé plus spécifiquement sur le confort du résident dans sa chambre» au regard des perspectives du changement climatique. «Ce bâtiment fait partie des 5% d'EHPAD qui disposent de rafraîchissement dans toutes les chambres».

Ainsi, plutôt qu'une climatisation, a été retenu un système de rafraîchissement adiabatique qui permet d'obtenir une température dans les chambres inférieure de 5 degrés à la température extérieure.

Adoma participe au «parcours d'intégration» des jeunes actifs


«On a comme objectif l'amélioration continue de nos offre au service des territoires et des publics que nous accueillons», a exprimé Emmanuel Ballu, directeur général d'Adoma. «Chaque année, chaque euro du résultat, parfois modeste, est réinvesti dans la rénovation et le développement.»

«Notre vocation est d'être un tremplin pour [les] résidents qu'on accueille et de leur permettre de poursuivre leur parcours d'intégration et de trouver un habitat de façon durable et adapté à leurs besoins», a-t-il complété.

À titre d'exemple, le directeur général d'Adoma indique qu'après déduction d'allocations sociales, le reste à charge pour un T1 peut descendre jusqu'à 75 euros mensuellement.

L'accompagnement personnalisé mené par Adoma comprend un accès aux droits, un accès aux soins et même une aide en matière d'insertion professionnelle pour le public jeune des résidences Kamino.

CDC Habitat mise sur «le recyclage de sites industriels»


«Le groupe CDC Habitat est très engagé dans la stratégie nationale bas carbone et la trajectoire 1,5 degré du Plan Climat», a revendiqué Anne-Sophie Grave, présidente du directoire de CDC Habitat. «Nous avons ce challenge de continuer à construire davantage de logements – compte-tenu de la crise du logement – mais en artificialisant moins les sols. Nous avons une conviction : une bonne partie de notre production de logements demain va se faire par du recyclage foncier, du recyclage de sites industriels.»

L'intervention sur l'ancien site de Jtek est vue comme «un démonstrateur de ce que sait faire CDC Habitat» : «produire un habitat accessible à tous» et «avoir des solutions adaptées à la diversité des besoins».

Ainsi, à proximité des bâtiments inaugurés ce jour, 41 autres logements locatifs intermédiaires sont en cours de finalisation, en partenariat avec Nexity, pour une livraison en décembre prochain.

Action Logement Services finance «une offre de logements adaptée aux jeunes actifs»


«Nous finançons et accompagnons le développement de logements abordables  et durables sur les territoires», a revendiqué, à son tour, Florent Trublé, directeur régional d'Action Logement Services en Bourgogne-Franche-Comté. «Le groupe Action Logement est engagé, comme beaucoup d'acteurs, dans un plan de décarbonation. (…) Tout ce que nous finançons se répercute sur notre bilan carbone.»

Dans le cadre de son financement de ces bâtiments inaugurés, Action Logement Services a mobilisé un million d'euros pour voir émerger «une offre de logements adaptée aux jeunes actifs en réponse aux besoins des entreprises».

«L'argent du Livret A, l'argent de l'épargne populaire et des différents livrets qui en découle, revient sur le territoire», s'est félicité Mathieu Aufauvre, directeur régional de la Banque des territoires en Bourgogne-Franche-Comté. «C'est la vocation numéro un de ce type de financement.»

Céline Vialet relève «un besoin réel de notre territoire» en matière de logements


À l'issue de la visite, Céline Vialet (LCOP), vice-présidente du conseil départemental de la Côte-d'Or, a considéré qu'il s'agissait de deux structures ayant pour point commun «la volonté d'offrir adapté aux différentes situations de vie des Côte-d'Oriens».

«De par ce lien ainsi favorisé entre les deux structures, je suis certaine que nos aînés auront la possibilité de maintenir des liens intergénérationnels, de participer à la vie et à la société, d'avoir un rôle actif dans le quartier», a déclaré celle qui est gérontologue de profession, «tout cela participe au bien-vieillir, un enjeu majeur de notre société».

«Au-delà de l'aspect social, ces deux structures répondent à un besoin réel de notre territoire. Nous ne pouvons ignorer le phénomène de vieillissement de la population. Nous nous devons de développer des solutions adaptées pour accompagner nos personnes âgées dans leur parcours de vie. C'est en poursuivant cet objectif que le Département soutient ses aînés, ses étudiants et jeunes actifs. (…) Nous continuerons à accompagner nos seniors dans le grand âge pour qu'ils puissent vieillir près de chez eux et en autonomie le plus longtemps possible. Quand aux étudiants et jeunes actifs côte-d'oriens, nous continuerons à le soutenir également afin de leur permettre de s'épanouir professionnellement et de s'installer durablement sur notre territoire», a-t-elle ajouté.

L'élue départementale a terminé son intervention en saluant «le travail exemplaire» de l'équipe médico-sociale du nouvel EHPAD après «un déménagement difficile».

Une large délégation autour de Nathalie Koenders


Après avoir écouté les propos des représentants des multiples partenaires de l'opération immobilière, Nathalie Koenders (PS), première adjointe au maire de Dijon, a salué «l'intelligence collective» conduisant à la «réussite» de ce projet.

«La construction d'un nouveau quartier témoigne de l'ambition que nous portons pour Dijon, celle d'une ville qui se régénère pour conjuguer l'impératif environnemental avec celui de permettre à chacun et à chacune de se loger dignement», a revendiqué la représentante de l'exécutif municipal.

Parmi les nombreux élus de la majorité municipale qui accompagnait la première adjointe au maire de Dijon figuraient notamment Antoine Hoareau (PS), adjoint au maire et actuel président de l'EPCAPA, ainsi que Françoise Tenenbaum (PS, FP), conseillère municipale déléguée et précédente présidente de l'EPCAPA.

En revanche, le nom de Pierre Pribetich (PS), désormais député de la Côte-d'Or et précédemment chargé des questions d'urbanisme au sein de l'exécutif dijonnais, n'a pas été cité.

«Construire est un besoin social», a martelé la socialiste, «la France traverse une crise du logement». «Près de 4,1 millions de personnes sont actuellement mal logées en France. (…) C'est un besoin économique aussi, c'est important pour une ville d'attirer de nouveaux habitants. (…) C'est un besoin démographique puisque, avec le vieillissement de la population, c'est une réalité importante. L'ensemble de ces besoins est vraiment pris en compte dans ce nouveau quartier avec des logements à loyer modéré, des logements en accession à la propriété.»

Nathalie Koenders vise à «garantir les meilleures conditions de vie à nos Dijonnaises et Dijonnais qui vieillissent»


«La création de cet EHPAD résulte de la fusion et du déménagement des Marguerites et du port du Canal», a rappelé Nathalie Koenders, évoquant ainsi une opération contestée dans les rangs des oppositions municipales (lire le communiqué).

«C'est jamais facile de déménager notamment avec les personnes âgées qui ont besoin de repères», a concédé la première adjointe au maire de Dijon, «c'est tout un travail qui a été fait depuis 2016».

«Je voudrai vraiment réaffirmer notre volonté d'être une ville accessible à toutes et tous et accompagner au mieux le vieillissement et garantir les meilleures conditions de vie à nos Dijonnaises et Dijonnais qui vieillissent», a-t-elle conclu avant de saluer «l'engagement du personnel de l'EHPAD».

La cérémonie s'est terminée par la coupure du ruban inaugural au pied de la résidence Kamino destinée aux jeunes actifs puis par un verre de l'amitié partagé dans la salle d'animations de l'EHPAD.

Jean-Christophe Tardivon

Communiqué de CDC Habitat :

Reconversion de l’usine Terrot à Dijon - Inauguration d’un nouvel ensemble d’habitat mixte

Le groupe CDC Habitat, avec sa direction interrégionale Nord-Est, Adoma, filiale de CDC Habitat, et ADIM Lyon, filiale de développement immobilier de VINCI Construction, ont inauguré en présence de Nathalie Koenders, 1ère adjointe au maire de Dijon, un ensemble d’habitat mixte composé d’un EHPAD et d’une résidence jeunes actifs à Dijon.

Issue d’un projet de rénovation et reconversion de l’ancien site des usines Terrot mené en partenariat avec la ville de Dijon et Dijon Métropole, cette nouvelle opération vise à faciliter le logement des jeunes et des seniors, en leur donnant accès à des  services adaptés.

Développé par ADIM Lyon et acquis en VEFA (vente en l’état futur d’achèvement) par le groupe CDC Habitat, l’ensemble immobilier marque une étape importante du programme de reconversion de l’ancien site industriel Terrot. Les travaux ont été conduits par C3B, filiale de VINCI Construction et acteur majeur de la construction en Bourgogne-Franche-Comté.

Un habitat accessible à tous et adaptés aux besoins de chacun

L’ensemble immobilier de plus de 12 700 m² de surface de plancher est composé de trois bâtiments :
- une résidence jeunes actifs Kamino Terrot Town ;
- un EHPAD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes), Les Jardins Voltaire Paulette Guinchard ;
- et une résidence de 15 logements locatifs sociaux adaptés aux personnes âgées autonomes.

Cette opération d’envergure illustre pleinement la capacité du groupe CDC Habitat à produire des habitats accessibles à tous et adaptés aux besoins de chacun, en concevant des projets complexes, multi-produits et multi-usages. En effet, cet ensemble répond aux difficultés croissantes des jeunes actifs pour se loger, il réunit des générations différentes sur un même site afin de lutter contre l’isolement des seniors, tout en proposant un parcours résidentiel adapté à toutes les étapes de la vie.

Une résidence pour aider les jeunes à « prendre leur envol ». Partenaire engagé des collectivités et des politiques publiques, Adoma, filiale du groupe CDC Habitat, développe des solutions qui favorisent l’insertion et l’autonomie. Grâce à sa marque Kamino, le premier opérateur national en matière de logement accompagné entend proposer des résidences spécifiquement conçues pour les jeunes actifs, accessibles et abordables. L’objectif : offrir une solution de logement et un accompagnement personnalisé aux jeunes de 18 à 35 ans ayant des ressources limitées pour leur permettre de se lancer dans la vie active.

A Dijon, afin de répondre aux besoins de cette jeunesse à la recherche d’un cadre de vie confortable et accessible, la résidence KAMINO Terrot Town propose 142 studios modernes, allant de 20,5 à 32 m². La résidence bénéficie d’une localisation idéale, proche des transports en commun, de commerces et de services, facilitant ainsi le quotidien de ses résidents. Chaque logement est proposé « clé en main », meublé et équipé de tout le confort nécessaire. La résidence offre également de nombreux services essentiels tels que : l’accès au wifi, à une laverie, un local vélos, une salle polyvalente. Enfin, l’équipe Adoma présente au quotidien dans la résidence propose un accompagnement pour aider les jeunes qui y sont accueillis à s’insérer socialement et professionnellement dans les meilleures conditions.

Des habitats seniors pour favoriser le « bien vieillir ». Le groupe CDC Habitat porte l’ambition de développer l’accueil des personnes âgées et de favoriser leur accompagnement grâce une offre de logements, facilitant le lien social, l’autonomie des seniors et leur sécurité. Il s’agit de lutter contre l’isolement et favoriser la mixité des générations, en adaptant ces logements aux besoins des personnes âgées, en construisant des solutions d’habitat groupé, ou encore en développant les services à la personne.

Avec l’EHPAD Les Jardins Voltaire Paulette Guinchard 1 , le groupe CDC Habitat confirme son implication dans le secteur médico-social et vient répondre par ailleurs à une demande forte sur ce type d’établissements. Livré en décembre 2023, l’établissement permet de regrouper sur un seul site les établissements « Les Marguerites » et « Port du Canal », afin d’améliorer les conditions d’hébergement des personnes âgées dépendantes. Composé de 165 lits, il est géré en partenariat avec l’Établissement public communal d’accueil des personnes âgées (EPCAPA) de Dijon et bénéficie de l’accompagnement d’une équipe médicale.

En parallèle et sur le même site, un programme de 15 logements locatifs sociaux adaptés aux personnes âgées autonomes, livré en avril 2024, est géré par CDC Habitat. Avec l’EHPAD et cette résidence, le groupe CDC Habitat propose un parcours adapté aux personnes âgées dijonnaises à toutes les étapes de leur vie.

De site industriel à quartier vivant : le renouveau d’une adresse emblématique de Dijon

La fin de la production de motos à l’usine Terrot avait laissé place à une friche industrielle. Lancé en 2016 en concertation entre Nexity, ADIM Lyon et la Ville de Dijon, le projet de rénovation et restructuration de ce site industriel, imaginé par les agences d’architecture Reichen & Robert & associés, et AA Group, vise à reconvertir un lieu mythique de la ville en un quartier ouvert et végétalisé au cœur de Dijon.

Ce programme de 2,5 hectares, dont 5 600 m² de jardin ouvert au public et un peu moins de 40 000 m² de surface de plancher, comprend au total 302 logements en location ou accession à la propriété, 146 appartements dans une résidence étudiante, 165 chambres d’EHPAD, 15 logements locatifs sociaux adaptés aux seniors, et 142 logements dans une résidence jeunes actifs Adoma. La présence d’infrastructures et services de proximité divers - restaurant, commerces, bureaux... - fait de ce projet un ensemble cohérent mêlant lieux de vie, de travail et de loisirs.

En reconstruisant la ville sur la ville, ce projet d’envergure vient répondre à un besoin réel en logements, dans un marché locatif tendu, tout en limitant l’étalement urbain et l’artificialisation des sols : le site quasiment entièrement minéral avant les travaux, sera, à terme, végétalisé sur 48 % de sa surface. Ce projet démontre ainsi la capacité des porteurs de projet à créer de nouveaux espaces de vie complets, en alliant préservation de l’environnement et mise en valeur du patrimoine historique de la ville, cher aux Dijonnais. La façade Art Déco emblématique de l’identité de la ville, a été conservée.

A propos du site Terrot

Fondée à Dijon par Charles Terrot en 1887, l’usine Terrot a été active jusqu’en 1959 date à laquelle elle a été absorbée par Peugeot. Au-delà des milliers de motos et bicyclettes sorties de cette usine, Terrot a acquis une grande notoriété grâce à la fabrication de landaus et de poussettes. Le site, désaffecté depuis 2004, représente un tènement de plus de 2,5 hectares, aux portes du centre historique et relativement bien desservi par les transports.

La reconversion de l'usine Terrot est «l'illustration parfaite de la reconstruction de la ville sur elle-même»






















































































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